Comité de soutien
La voix de l’Initiative paysage est portée par des personnalités issues des organisations de protection de la nature et de l’environnement, ainsi que par des scientifiques, des politicien.ne.s, des spécialistes de l’aménagement du territoire, de l’agriculture ou du patrimoine architectural.
«Il faut stopper le bétonnage pour assurer des ressources suffisantes pour la biodiversité, maintenir des sols productifs et préserver la beauté de nos paysages.»
« Proche de la ville, le paysage remplit une multitude de fonctions quantifiables. Ces dernières années, le covid nous a permis de réaliser à quel point les impacts positifs de nos paysages sur la psychologie sont essentiels pour la société. Les paysages proches des villes ne peuvent être remplacés par aucun autre type d’espace. Leur préservation est indispensable ».
«Le sol est une ressource limitée primordiale pour la diversité biologique et la production agricole. C’est un bien commun qui doit être mieux protégé. Il faut donc absolument arrêter la frénésie de construire hors des zones à bâtir.»
«Les terres agricoles méritent la même protection que la forêt. En tant que base d’une alimentation durable et d’un paysage varié et riche en espèces naturelles. C’est ce qu’il nous faut pour nous sentir bien.»
«Un arrêt du mitage du territoire est essentiel pour réduire les nuisances des infrastructures routières sur la nature et la faune. De plus, un milieu construit moins étendu réduit la dépendance à la voiture et favorise l’essor d’une mobilité plus durable et sans énergie fossile: à pied, à vélo et en transport public.»
«L’utilisation de l’espace en Suisse ne concerne pas que les êtres humains. L’Initiative paysage est importante pour stopper la fragmentation et le bétonnage, en faveur de la biodiversité.»
«Il Cussegl federal ha decidì che enfin il 2050 na vegn betg pli surbajegià in sulet meter quadrat terren supplementar. L’Iniziativa per la cuntrada è però indispensabla per franar effectivamain la construcziun dischordinada!»
«Le Conseil fédéral a décidé que plus un seul mètre carré supplémentaire ne doit être construit d’ici 2050. Mais l’Initiative paysage est indispensable pour que le mitage du territoire puisse être endigué efficacement!»
«La Constitution fédérale oblige depuis longtemps les autorités à faire une « utilisation mesurée du sol ». Cependant, le contraire est encore trop souvent le cas, surtout en dehors des zones de construction. L’Initiative paysage permet de corriger le cap grâce à des mesures précises et cohérentes.»
«Les magnifiques paysages agricoles sont des lieux où nous aimons nous ressourcer et nous inspirer – protégeons-les maintenant!»
«Notre nature et nos paysages sont importants pour le peuple suisse. Pourtant, depuis des décennies, le boom de la construction en dehors des zones à bâtir se poursuit. Il en résulte l’étalement urbain, la perte de biodiversité et la disparition des terres agricoles. La séparation des zones constructibles et non constructibles, ainsi que la protection de nos sols sont assurées par l’Initiative paysage.»
«La biodiversité, les paysages traditionnels et le patrimoine bâti ont une valeur énorme. Mais jusqu’à présent, le monde politique et les autorités ont négligé leur protection. Nous devons agir avant qu’il ne soit trop tard. L’Initiative paysage est un instrument important pour cela.»
«La dispersion des constructions est le problème central de l’aménagement du territoire. En effet, presque 40% de toutes les surfaces d’habitat et d’infrastructures se trouvent hors de la zone à bâtir, alors que le droit n’y autorise la construction que de manière exceptionnelle. En pratique, l’exception devient curieusement la règle. L’Initiative paysage propose simplement de remettre les pendules à l’heure du droit.»
«Les fonctions multiples du paysage présupposent une planification prévoyante et la pesée de divers intérêts. Hélas, le caractère de nos paysages est de plus en plus mis à l’écart par des intérêts économiques à court terme. Je soutiens l’Initiative paysage parce qu’elle veille à instaurer des règles durables dans la manière d’interagir avec notre paysage.»
«Si à l’avenir, nous voulons continuer à admirer de beaux paysages, des animaux sauvages et de fascinants marais, et de bénéficier de sols fertiles, nous devons mettre un terme aux continuelles attaques contre la protection de la nature et du paysage. Il n’est pas admissible que les principales bases de notre vie soient victimes intérêts particuliers à court terme.»
«Aimeriez-vous passer vos vacances dans des villages sans personnalité, et dans des paysages bétonnés ? Cet été, de nombreuses personnes ont apprécié la nature, le paysage et la culture architecturale de la Suisse. L’Initiative paysage demande à la Confédération et aux cantons de préserver les paysages et le patrimoine bâti, afin que notre pays garde son identité pour les générations futures.»
«Depuis plus de 30 ans, Professionnelles en Environnement s’engage pour un avenir dans lequel l’environnement, la société et l’économie se développent de manière équilibrée. Les constructions non réglementées et non contrôlées en dehors des zones à bâtir montrent que les intérêts des investisseurs sont souvent plus importants que la protection des surfaces proches de l’état naturel. Pour contrer cette prolifération, les ffu-pee soutiennent l’Initiative paysage.»
«Des pratiques différentes selon les cantons et de plus en plus de bâtiments hors des zones à bâtir, l’Initiative pour le paysage crée un cadre clair pour limiter la construction.»
«La pression sur le paysage augmente, comme si nous étions de retour dans les années 1970. C’est pour cela qu’il faut un contrepoids qui permette de régler durablement les objectifs contradictoires.»
«Pour un développement durable de nos paysages!»
«Les zones alluviales sont des éléments paysagers caractéristiques et des hauts lieux de la biodiversité. Cependant, depuis 1850, plus de 90% des zones alluviales ont disparu, en raison de l’utilisation intensive du sol. Si nous voulons éviter de perdre le dernier dixième, il faudra cesser de consommer des surfaces hors zone à bâtir.»
«C’est incroyable, des flots de machines de chantier arrivent dans des régions dans lesquelles les constructions sont interdites. Elles détruisent les perles du paysage suisse, ainsi que les habitats d’animaux et de plantes.»
«Des paysages intacts et une grande culture du bâti ne sont pas une fin en eux-mêmes. Ce sont des élixirs de jouvence pour les êtres humains: hier, aujourd’hui et, espérons-le, demain.»
«On ne peut ni multiplier ni transporter le sol. Il est limité et fini. Nous devons dès lors traiter cette base de notre subsistance de manière responsable. L’Initiative paysage, visant à protéger le paysage et le sol à l’extérieur des zones à bâtir, comble une importante lacune.»
«Je soutiens cette initiative parce qu’elle constitue une mesure juste et concrète allant dans la direction préconisée au point 2 de la Déclaration de Davos, sur le patrimoine bâti de qualité: «Les politiques doivent insister sur la nécessité d’élaborer des approches de développement durables et centrées sur la culture partout et à toutes les échelles de territoire. La valeur et le caractère irremplaçable des paysages et du patrimoine culturel européens doivent être renforcés, en mettant l’accent non seulement sur les villes et l’espace urbain, mais aussi sur les espaces périphériques et ruraux et leur interconnexion.»»
«Durant la pandémie, nous avons découvert l’importance de la nature et du respect que nous lui devons. Comme l’Initiative des Alpes, l’Initiative paysage a pour objectif la sauvegarde de nos paysages, de notre santé et de celle de la flore et de la faune suisses. Le bétonnage galopant et la pollution de la Suisse ne peuvent pas continuer!»
«La population et les cantons ont accepté l’Initiative des Alpes afin de les protéger contre le trafic de transit. Pour les protéger de l’avancée de l’urbanisation, il faut désormais l’Initiative paysage!»